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 Gabriel Sauvain * MARSHMALLOW FUSO

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Gabriel Sauvain
MARSHMALLOW FUSO | Hey girl!
Gabriel Sauvain


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MessageSujet: Gabriel Sauvain * MARSHMALLOW FUSO   Gabriel Sauvain * MARSHMALLOW FUSO Icon_minitimeSam 22 Déc - 21:53

Gabriel Sauvain * MARSHMALLOW FUSO 010ul2 Gabriel Sauvain * MARSHMALLOW FUSO 009555ad5 Gabriel Sauvain * MARSHMALLOW FUSO 003666hj0
Smile, take it easy...
Ugh, ugh, ugh !

GABRIEL SAUVAIN ˜


    FICHE D’IDENTITE

    Nom: Sauvain
    Prénom(s): Gabriel Théo
    Surnom(s) : Gaby, mais attention ! Ce n’est que pour les intimes Wink
    Date de naissance: 30 Juin 1987
    Age: 20 ans

    Signe Astrologique: Cancer
    Lieu de naissance: Paris, 18ème.
    Nationalité: Française

    Emploi / Occupation: Etudiant en Infographie, 2ème année.


    PROFIL PSYCHOLOGIQUE ET PHYSIQUE

    Caractère: Simple ? Oui, c’est le mot. Gabriel est un jeune homme simple. Toujours posé, il s’interdit presque de se prendre la tête, mais pas jusqu’à devenir baba-cool. Vous savez, c’est le genre de garçon sur qui on peut compté, à qui on peut se confier, mais qui en retour vous demandera toujours de vous renvoyer l’ascenseur. Il rend toujours la monnaie de sa pièce, mais en échange demande parfois beaucoup plus, genre… l’hôpital qui se fou de la charité. Et oui mesdemoiselles, il ne faut jamais se faire de préjugés dans la vie, la vie est une pièce de théâtre, on joue tous notre rôle, et de nos jours, Gabriel joue le renard. Rusé, saugrenu… Allez donc jouer à cache-cache avec lui, vous verrez, il est presque impossible à retrouver. Par cet image, le message que j’essais de vous faire passer est qu’il est toujours là dans les moments joyeux voire même triste, mais jamais là lorsqu’on a besoin d’aide. C’est pourtant une bonne épaule sur laquelle on peut venir pleuré, à l’écoute, vos paroles resteront bien au chaud dans sa tête, mais (car il y a toujours un ‘mais’ malheureusement), il sait profiter des faiblesses des gens, et, lorsqu’il a besoin de se venger ou juste de faire un sal coup, il n’hésite pas à aller les crier sur tous les toits. Comme quoi, sous ses allures de gentil garçon se cache une vraie langue de vipère.
    Toutefois, il n’est pas si mesquin qu’on pourrait le penser. Il a ses hauts et ses bas, ses sots d’humeur… Il aime la vie, en profite à fond et ne manque jamais une occasion de s’éclater. Sur le campus, c’est un peu le genre de garçon sur qui tous les regards se tournent, le beau gosse populaire quoi !! Il n’est pas insensible, comme il essaie de faire croire. Il est du genre à fondre en larme devant un film à l’eau de rose, et se détruire intérieurement à la moindre critique. Il fait trop attention à lui, égoïste mais fidèle à lui-même. N’essayez jamais, mais alors jamais de le rabaisser, et encore moins de le sous-estimer. Il n’a pas de limite, et se donne à fond pour dégager la meilleure image de lui-même, l’image d’un petit ange, mais mauvais garçon. Il est très attentif à se qui se fait autour de lui, décroche le dernier ragot, lance des rumeurs idiotes… Mais intelligent comme il est, il ne se retrouve jamais au beau milieu d’une embrouille, même s’il s’agit d’une embrouille qu’il a lancée. Il sait rester discret, là est bien tout l’art du gentleman.

    Un adjectif pour définir la personnalité de votre personnage : Lucide

    Son ou ses roman(s) préféré(s) : Nuit d'Enfer de John Sandford
    Et côté cinéma, quels sont ses films préférés ? : Zodiac, From Hell.
    Chanson préférée : Wisemen de James Blunt

    Apparence physique: Gentleman, il a l’allure d’un vrai gentleman. Un de ces gentlemans modernes, à l’allure décontractée mais d’une classe inimitable. Ou encore, d’un prince charmant… Oui, imaginez le dans un conte de fée, cela fera tout de suite plus réaliste. Mais l’expression que toutes les jeunes filles utilisent lorsqu’elles posent le regard sur notre beau brun c’est : ‘beau gosse’. Ouep, c’est un vrai beau gosse ! Il est plutôt mignon n’empêche ! Très séduisant, et au regard enivrant… Son regard si bleu, d’un bleu intense qui vous fait chavirer ! Et puis ce visage pourtant si renfermé, si froid, lui donne une classe incomparable. Non, restons sérieux. Gabriel est un garçon banale, et pourtant unique en son genre. Si on l’analyse, on remarque qu’il fait très attention à son allure, qu’il entretient ce personnage qu’il joue. Toujours très propre sur lui, son atout principal est son regard. Un bleu océan, un regard profond et très expressif. Sa peau toujours très pâle lui donne ce petit côté innocent, sensible, et met en valeur sa chevelure brune, très foncé et la plupart du temps en bataille. Comme je disais, il fait attention aux moindres détails de son image, et l’effet « saut du lit » lui donne toujours un charme fou. En effet, chaque matin il prend soin de se coiffer… mais en vitesse =) Et ce petit nez… mmmh ce petit nez, on a envie de le croquer lol Sans oublier une bouche aux lèvres rosées mais rustres, des lèvres que l’on a envie d’embrasser rien que pour voir quel effet on obtient.
    Descendons plus bas voulez-vous. Nous voici arrivés au niveau du torse, il torse de nageur, un torse musclé. Des épaules carrées, une carrure droite et imposante. Rien de tel pour attirer les belles demoiselles ! Ses 4 membres durs et puissants révèlent tout le temps passé dans sa piscine ou dans la salle de musculation. Il est plutôt grand, et se doit de prendre soin de ses biceps, triceps, abdos et tout la compagnie !! Avec quoi cache t-il son corps ? Oh… la plupart du temps un simple jean, un T-shirt blanc est un petit blaser très classe, histoire de relever un peu son allure. Il n’aime pas passer une demi heure le matin à trouver sa tenue, et fait dans la simplicité. Il est pourtant toujours à la mode de la tête aux pieds… L’hivers il se transforme en vrai prince charmant, avec sa petite écharpe blanche, son manteau gris et ses Converses en cuir…


    Style Vestimentaire: A VENIR


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MessageSujet: #cc0000   Gabriel Sauvain * MARSHMALLOW FUSO Icon_minitimeMer 26 Déc - 15:36

    HISTOIRE

    Genèse:
    4 Septembre 1979
    Dans les couleurs du lycée Victor Hugo, les élèves se bousculaient, comme pressés de retrouver leurs camarades de classe, ou perdue dans ces locaux immenses. Seule, dans son coin, une jolie petite blonde semblait ne pas suivre le mouvement, isolé du monde lycéen. Elle était toute timide, dans sa petite robe grise, ses pommettes d’un rose pâle, lui donnant ce petit air enfantin qu’ont les jeunes vierges. Elle était nouvelle, arrivait en cours de route. Elle était habituée à changer de ville chaque année, mais Paris l’effrayait. Elle n’aimait pas les grandes villes, et encore moins les lycéens aux adolescents indécents et antipathiques. C’est fou tout ces clans que l’on retrouve dans un même lycée. D’un part les « intellos », de l’autre côté les « racailles » et sans oublier les « fashions ». Emilie Leconte était marginale, elle se différenciait par son caractère mais aussi par sa vision un peu trop pessimiste de la vie. Elle était bien de ces gens qui se renfrogne lorsqu’on essaie de faire connaissance avec eux, qui se plaigne de l’impartialité de notre société. Mais elle était fière d’elle et de sa mentalité. Elle vivait dans son monde, un monde qu’elle cite exagérément utopique.
    « Hey Charlie, matte moi un peu la petite Sainte ni touche.... ! »
    Une voix masculine perça le « silence » qui régnait autour de la petite blonde innocente. Non loin d’elle, un petit groupe de garçons se trainaçait, à l’ego un peu trop démesuré. Elle les ignora royalement, se contentant de tracer sa route un peu plus loin. Malheureusement elle comprit bien vite que les parisiens ne semblaient pas baisser les bras. Derrière elle 5 jeunes hommes ricanaient du comportement de cette « sainte ni touche » comme ils l’appelaient. Mais Emilie avait appris à ne jamais baisser sa garde, et même si vaincre sa timidité l’espace d’un instant était toujours une tâche éreintante pour elle, elle se devait de se décrocher des griffes de ces idiots.
    « Regarde moi ça, plutôt sexy vous trouvez pas les gars ? »
    Emilie ne savait pas quoi répliquer devant cette altercation. Elle se sentait mal à l’aise, et le regard pesant des garçons lui donnait envie de partir en courant. Au lieu de ça, elle resta plantée là, comme inconsciente, le regard las. A quelques centimètres d’elle, déjà les garçons se permettaient de faire des messes basses où de la détailler ouvertement. Depuis tant d’années qu’elle était habituée à ce cirque, elle n’osait plus le combattre.
    L’un des garçons semblaient différent, non amusé de cette scène, contrairement à ses camarades. Il dévisageait la jeune femme, cherchant à percer ce mystère qui émanait d’elle. Il avait ce regard plaignant, non pas ce regard anodin que l’on pose sur un pauvre SDF faisant la manche, non, mais ce regard interrogatoire, ce regard plein de malice, de curiosité. Il se sentait comme intrigué à la vue de cette petite nouvelle. Elle semblait si fragile, si enfantine. Elle était en première S, une scientifique, une… « intello ». Et lui en ISI.
    L’un des 5 garçons reprit la parole, mais machinalement Charlie la lui coupa. D’un ton prédateur, il soupira à son camarade :
    « Ta gu**le Kevin, t’as pas mieux à faire que d’emm*rder le monde ?! »
    Il ne s’était pas retenu, et le fameux Kevin se renfrogna, entraînant ses compatriotes vers sa salle de classe. Seul Charlie était resté planté au milieu du couloir, quant à la blondinette, elle avait déjà disparue dans la masse. Première rencontre, premiers préjugés. Que pensait donc la jeune femme de lui ? Il avait pourtant était charmant avec elle, et à vrai dire, ce n’était pas tous les jours qu’il défendait une inconnue. Mais quelque chose l’attirait en elle, un je ne sais quoi qui détruisait ce personnage de badboy que s’efforcer le jeune homme à jouer.

    8 Décembre 1979
    Quelques mois ont passé depuis leur première rencontre, et les deux jeunes gens s’étaient pas mal rapprochés. Emilie venait souvent en aide à Charlie, qui commençait à galéré avec toutes ses révisions. C’était une excellente élève, qui méritait les honneurs de sa génération. Promise à un avenir aisé, elle n’avait pas à s’en faire, et continuait à avancer avec un but précis dans la vie. Là était bien sa plus grande qualité, elle n’avançait pas à l’aveuglette. Elle s’était déridée depuis cette rentrée, et semblait ne plus avoir peur du monde lycéen. Elle n’était point pour autant appréciée de son entourage, toujours aussi solitaire. Seul Charlie arrivait à la faire sortir de sa carapace, la faire s’épanouir. Ils se retrouvaient chaque soir au petit café du coin de la rue. Ils parlaient de tout et de rien, intimes et de plus en plus complices. Elle était toujours souriante, et commençait même à devenir plus confiante en elle. Quant à Charlie, ces petits RDV le rendait incroyablement inoffensif, comme désarmé par le charme enfantin de son amante.

    Flash Back.
    Quelques jours après leur première rencontre, leurs chemins se croisèrent, hasardeux. Les bras chargés de livres, Emilie avançait maladroitement entre les rayons du CDI. Un jeune homme était en train d’étudier, sérieux, dans un coin de la bibliothèque. Au sol se trouvait son sac en bandoulière, comme un obstacle dressé entre la jeune femme et l’étagère qu’elle essayait d’attendre. Elle marcha dessus, trébucha, et se retrouva accroupie, béate au beau milieu du CDI. Maugréant quelques jurons dans sa barbe, elle s’empressa de se relever, toute naïve, le regard moqueur des autres étudiants braqués sur elle. Le jeune homme fut très vite attiré par tout ce chahut, et se leva vivement, à la fois désolé et apaisé de la revoir. C’était elle, la petite « sainte ni touche » de la rentrée. Elle était là, perturbée par cet évènement, et lui, impénétrable, se contenta de ramasser rapidement les livres étalés au sol.
    « Zut ! Désolé, je n’avais pas vu ton sac ! Murmura l’enfante, affolée.
    - T’inquiète pas, c’est de ma faute, j’aurais pas dû le laisser traîner là !
    - … Non, laisse, je vais faire… »

    Elle s’était accroupie, s’aguichant de reprendre ses biens. Le regard des deux étudiants se croisèrent, s’enlacèrent, impénétrables, séduits l’un par l’autre.
    Fin du Flash Back.

    « Dis euh, Emilie, je voulais te deman… »
    Charlie était bien partis pour se lancer dans une tirade révélatrice, mais avançait sur un terrain inconnu. Il ne savait pas comment s’y prendre avec elle, pour tout dire, il ne la connaissait pas comme il le voulait. Elle était si réservée, si froide lorsqu’il s’agissait de parler d’elle et de son passé. Il baissa les yeux sur sa tasse de chocolat chaud, et se mit à tripoter sa cuillère, chuchotant dans sa barbe.
    En face de lui, Emilie semblait hypnotisée par les lignes de son roman. Elle était si belle lorsqu’elle était concentrée. Ses yeux devenaient tout brillants, révélant les émotions qui dégageaient de sa lecture. Elle avait pour habitude de lire à vois très basse, ne laissant échapper qu’un petit souffle à travers ses lèvres. Elle fut surprise d’entendre Charlie ne pas terminer sa phrase, il était pourtant si franche avec elle habituellement, mais semblait désarçonner.
    « Oui ?
    - Tu sais, vendredi soir… il… il y a le Bal…
    - De Noël, en effet…
    L’interrompit-elle, amusée.
    - Je voulais te… proposer… d’y aller ensemble, entre amis bien sûrs ! Annonça t-il, dans un souffle rapide, comme soulagé d’un poids énorme.
    - Quelle bonne idée ! Je n’ai jamais participé à de tels bals, j’ai d’ailleurs toujours rêve d’être comme une princesse dans sa belle robe de bal… »
    Elle avait posé son livre, pensive. Sa tête posée sur sa main droite, elle s’imaginait dansant au rythme de l’orchestre du bal. Devant elle, Charlie venait de s’illuminer, se délectant de cette image joviale, presque magique à ses yeux. Pourtant il ressentit un pincement au cœur ; elle allait l’accompagner en temps qu’amie, aurait-il voulu plus ?

    30 Juin 1987
    8 ans plus tard, dans une salle opératoire de l’hôpital du 18ème, une femme criait de toutes ses forces. Elle était en sueur, épuisée par ces longues heures de travail. Dans le couloir, un bel homme, déjà âgé d’une vingtaine d’année faisait les 100 pas, consciencieux mais surtout impatient. Des cris aigus. Un nouveau garçon sur cette Terre déjà grandement peuplé. Le petit Gabriel venait d’ouvrir les yeux, et c’est dans les bras de sa mère qu’il s’émerveillait de ses premiers soupirs.

    Flash Back.
    « Mr Charlie Edward Sauvain, voulez-vous prendre Mlle Emilie Judicaëlle Leconte pour épouse, de la chérir, pour le meilleur comme pour le pire ?
    - Oui, je le veux.
    - Et vous, Mlle Emilie Judicaëlle Leconte, souhaitez-vous prendre pour époux Mr Charlie Edward Sauvain, de le ché…
    - Oui, oui, oui ! Je le veux ! »

    Fin du Flash Back.


    Les années s’écoulèrent, et c’est dans une famille soudée que le petit Gabriel grandissait. Seulement quelques mois plus tard, il avait une petite sœur. Tous deux complices, ils étaient toujours fourrés ensemble, à monter les coups les plus malsains envers leurs parents. Emilie avait réussit sa vie. Devenue une avocate de renommée, elle gagnait plutôt bien sa vie, sans parler de son mari, Charlie, PDG d’une grande entreprise de multimédias. Il n’était jamais à la maison, et Emilie était plus occupée par son travail que par ses enfants. Forcés de vivres autonomes, les deux petits avaient appris à se forger un tempérament coriace et à ne jamais ravaler sa fierté. D’années en années, ils avançaient dans la vie.
    Tous deux bons élèves à l’école, plus les ans passés, et plus Valérie s’éloignait de son frère, manquant d’air. Il ne se rendait pas compte du trop de protection qu’il lui adressait. Mais ils s’aimaient toujours pour autant. Elle était devenue comme sa mère, une jeune femme fragile et inconsciente, mais bizarrement Gabriel était totalement différent des autres membres de sa famille. Fort de caractère, il était d’une mesquinerie inexorable. Il détestait ses parents, conscient du peu d’importance qu’ils leurs portaient. Petit à petit il s’éloignait, qu’est-ce que le destin lui réserve ?


Dernière édition par le Jeu 27 Déc - 12:32, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Gabriel Sauvain * MARSHMALLOW FUSO   Gabriel Sauvain * MARSHMALLOW FUSO Icon_minitimeMer 26 Déc - 15:37

    Fait(s) d'adolescence:
    15 Janvier 2005
    Les fêtes de fin d’année étaient passées, les bonnes résolutions venaient à peine d’être prises. Pour fêter Nouvel An, la famille Sauvain s’était rendue à Courchevel, station de ski très réputée en France. Ils avaient mis huit heures pour atteindre la neige, et enfin installés dans leur chalet, la petite famille se rendait déjà au café, pour fêter cette dernière semaine de vacances comme il se doit. Chaque année Gabriel se rendait dans les Alpes ou les Pyrénées, la neige était pour lui un moyen de s’extérioriser, mais surtout de rencontrer de jolies surfeuses ! Ils étaient tous les 4 autour d’un chocolat chaud bien bouillant, Valérie rêvant déjà d’essayer le jacuzzi de l’hôtel. Quant à Gaby, dans sa belle combinaison noire et blanche, il fixait intensément son surf, impatient de faire fondre la neige sur son passage. La famille S. se retrouvait rarement tous ensemble, et le fait qu’ils soient très souvent séparés dans la vie courante fait que les deux frères et sœurs s’étaient éloignés de leurs parents. Il est dur pour des parents de voir leurs progénitures penser à autre chose que de discuter tranquillement avec eux, mais la vie d’une famille de milliardaires est comme ça…
    « Alors les enfants, qu’avez-vous fait d’excitant cette dernière semaine ? Commença Emilie.
    - Je suis allé voir Mick’ à son garage, il m’a dit que ma bécane devrait être remise sur pieds d’ici peu ! S’exclama Gabriel, désintéressé.
    - Bien mon grand, et quand penses-tu passer ton permis ?
    - Quand j’aurais le temps…
    Répondit mollement le jeune homme à son père.
    - Pour ma part, je l’ai eu haut la main ! Ce n’est pas donné à tout le monde de savoir manipuler un volant, il faut savoir tourner au bon moment. Murmura narquoisement Valérie à son frère, cherchant à le déstabiliser devant ses parents. »
    La conversation dura encore quelques minutes, jusqu’à ce que Gabriel cède à la tentation. Sans même prévenir son entourage, il se leva de table et attrapa sa planche. Ni une ni deux il se retrouvait déjà dans la queue du télésiège. Il faisait beau en ce samedi d’hivers. La neige était encore toute fraîche, et sur la piste skieurs et surfeurs se hâtaient déjà ; c’était à celui qui arriver le premier en bas de la piste. Gaby préféra commencer en douceur, par une piste bleue, histoire de s’échauffer. Il était plutôt bon surfeur dans son genre, mais passait la plupart de son temps à frimer qu’à progresser. Il ne lésinait jamais sur les moyens, et était bien du genre à risquer sa vie, ainsi que celle des autres sur les pistes. Il reprit deux fois le télésiège, et au bout de la troisième se dirigea vers la piste noire. Autour de lui la foule se dissipait, on reconnaissait bien vite les téméraires aux responsables.
    « Et c’est partie !! »
    En quelques secondes le jeune homme se lançait en piste. Il maîtrisait son surf à merveille, sautant de bosses en bosses, évitant les obstacles avec adresse, et n’oubliant jamais de saluer ses congénères. Mais son trop de vantardise lui joua un mauvais tour. Un petit clin d’œil à la belle skieuse d’à côté, une bosse un peu trop tordue interrompant sa course folle, son surf qui dérape… Puis le trou noir.

    26 Février 2005
    Chambre 226. Sur un lit d’hôpital, un jeune homme inconscient, profondément endormit. Des infirmières se bousculant dans les couleurs, des pleurs, des cris de souffrance… Mais dans cette chambre, un silence pesant. Une jeune fille assise à côté, assoupie dans son fauteuil. Un doigt qui bouge. Des yeux qui frétillent. Un gémissement de douleur, de fatigue, et un regard bleu voyant le jour.

    Flash Back. 2 mois plus tôt.
    Sur la piste les skieurs s’arrêtaient violemment. Un vieux s’était accroupi aux côtés du jeune homme inconscient. Il prenait son pou, affolé. Une jeune femme appelant les pompiers, un hélicoptère arrivant quelques minutes plus tard.
    Rapatrié, allongé dans un lit d’hôpital, une jambe dans le plâtre, Gabriel était endormie. Emporté par un profond sommeil que l’on appelle plus communément : coma.
    Fin flash back.

    Autour de lui les infirmières l’examinaient : prises de sang, de pou… Des tas d’analysent qui bousculèrent le jeune homme encore assommé. Deux mois de coma, deux mois. Cette mauvaise chute lui a presque value la mort. Valérie, lui tenant la main, avait les larmes aux yeux. Depuis tous petites il n’arrêtaient pas de se chamailler. Avec les années, ils s’étaient rapprochés, mais la jeune femme étouffait sous le trop d’affection de son frère, qui tournait à la paranoïa. Mais au fond, ils ne pouvaient pas vivre l’un sans l’autre.
    Ses parents étaient repartis à Paris, se souciant que peu de l’état de leur garçon. Seule Valé’ était resté à Courchevel durant ces deux mois. Séchant les cours, elle n’avait pratiquement jamais quitté cette chambre, une pointe d’espoir, toujours prête à être la première chose que verrait son frère lorsqu’il se réveillerait. Se fût le cas.
    « Hey mon vieux ! Il serait temps que tu te réveilles ! A ce rythme là toutes les belles gazelles de Courchevel vont te filer entre les doigts… Ironisa la jeune fille, toutefois heureuse de cet évènement.
    - Je suis où là ? Silence. Mmh, j’ai toujours rêvé d’être bichonné par une infirmière… Ajouta t-il.
    - Je te retrouve bien là grand frère ! »
    Gabriel s’en sortit sans trop de mal, mais quelques semaines de rééducations poursuivirent son séjour à l’hôpital. Comme quoi, mieux vaut prévenir que guérir…


    Fait(s) de la vie actuelle:
    5 Août 2006
    Le soleil brillait ce jour là, et une bande d’amis avait décidé d’aller passer l’été en… camping ! Loin de la vie Parisienne, du luxe. Ils avaient pour cela choisis une destination peu anodine, la Suisse. Les vaches, les montagnes, le chocolat… La vie à la campagne quoi ! C’est donc sur une petite route de vallée que la Peugeot de nos 4 amis avançait tranquillement, fredonnant un air de rock passant à la radio.
    Au bout de quelques heures, on pouvait apercevoir un petit camping chic et campagnard. Il était joliment entouré de barrière de bois, et l’accueil n’était autre qu’un magnifique chalet typique de la région. Fenêtres et toit ouvrant ouvert, on pouvait les entendre du camping, s’esclaffer de joie à l’idée que les vacances allaient commencer. Garés sur le parking, seul Gabriel se rendit à l’accueil chercher le propriétaire, quant aux autres vacanciers, ils s’émerveillaient déjà devant l’immense piscine, les tables de ping-pong et autres animations. Gabriel passa devant eux, s’empressant de les rappeler à l’ordre, d’une voix sournoise et amicale :
    « Hey, regardez autour de vous ! N’est-ce pas magnifique ? Demain matin, levé 6h, on va se faire un 3000m les amis !
    - Tsss, ça sera sans moi, les chaises longues me plaisent bien !!
    Soupira Lucie, la meilleure amie du jeune homme. »
    Ils rirent tous de bon cœur, ainsi que le propriétaire qui s’empressa de les inciter à visiter le camping, et donc choisir leur emplacement. Tout était si beau, dans le moindre détail. Les emplacements étaient séparés par de belles haies, et les grands sapins présents un peu partout ombrageaient convenablement chaque habitant. On sentait cette ambiance chaleureuse entre campeurs, les petits nouveaux accueillis par les anciens, les vieux saluant les jeunes et ainsi de suite. C’était cette atmosphère que les 4 amis recherchaient, et ils comptaient bien profiter de leurs 2 semaines pénardes.
    Au bout d’un bon quart d’heure, ils eurent enfin choisit un emplacement. Petit mais agréable, l’herbe était douce et le sol plat. Gabriel alla chercher la voiture, qu’il ramena très vite devant leur nouveau lieu de vie. Chaque personne aida à décharger, et ils se mirent à deux sur chaque tante. Gabriel dormirait avec Lucie, quant aux deux autres, il s’agissait d’Eric et Stéphanie, un couple bien sympathique qu’ils côtoyaient depuis déjà quelques années. Ils étaient tous amis de lycée voire d’enfance pour Gabriel et Stéphanie. Ils s’adoraient tous, et chacun était toujours là pour l’autre. A Paris, ils ne se séparaient jamais, c’est un peu une petite bande, très connue dans leur quartier.
    « Bien. Il est 15h, que diriez vous de piquer une tête dans la piscine ? »
    Ni une ni deux, ils acquiescèrent tous la proposition d’Eric, et n’eurent besoin que de quelques minutes pour se changer. Par chance, le camping n’était pas trop peuplé de jeunes, la piscine était donc presque déserte !

    10 Août 2006
    « 5km à pieds, ça use, ça use, 5km à pieds, ça use les souliers. 6km à…
    - Je t’en pris Gabriel, ferme la un peu ! »

    Nos 4 amis en étaient à leur 3ème marche en montagne en seulement 5 jours, et les filles commençaient à ne plus supporter Gabriel et Eric, toujours d’accord pour partir à la rencontre de la vie montagnarde. D’ailleurs, ils ne se gênaient pas pour toujours traîner les deux amies, même pour les 3000m. Il faisait pourtant si beau, et à chaque fois qu’ils atteignaient le sommet, les filles étaient bien contente, mais surtout appréciaient beaucoup la vue comme l’endroit. Et oui, elles râlent, elles râlent, mais au bout du compte, elles sont bien contentes d’être venues.
    Il leur fallut 5 heures de marche pour atteindre le sommet, et arrivés en haut, ils s’émerveillèrent du paysage, et les filles étaient attendries par le petit troupeau de chamois perchés quelques 100ènes de mètres plus haut, dans les rochers. Elles s’imaginaient les caressant comme s’ils étaient des chiens. Mais cette petite s’arrêta vite pour laisser place au pique nique copieux et rustique. Les filles, elles, s’étaient préparées des salades, quand aux garçons, le bon vieux sandwich au saucisson leur allait bien.

    En fin de journée, les voilà de retour à la voiture de Gabriel. C’est Lucie qui décida de conduire, elle avait tout simplement envie d’essayer les zigzags de la montagne ! Malheureusement, cette descente n’allait pas être aussi amusante qu’elle ne l’aurait imaginé.
    Elle roulait d’une allure convenable, ses amis parlant de tout et de rien. Elle était parfois déconcentrée par Gabrielle qui la charriait, mais restait toujours consciente de sa route. Ils arrivèrent dans des gorges, et le travail allait être plus difficile. La route était étroite, et l’on sentait le stress de la jeune conductrice. A côté d’elle, Gabriel gardait un œil sur elle, conscient qu’elle était mal à l’aise. Ils ne pouvaient pas s’arrêter et échanger de place, il se contentait juste de prévenir Lucie lorsqu’un obstacle survenait. Malheureusement, ses conseils ne suffirent pas.
    Un coup de klaxon, un appel de fars, et plus rien. A l’arrière, Stéphanie se mit à pleurer, se rendant compte de l’accident. Un conducteur un peu trop rapide n’avait pas prévenu de sa présence, et se percuta à la voiture des jeunes gens. Gabriel était inconscient, bien que son air bag se soit déclenché. A côté de lui, on pouvait voir le corps inerte de la petite brune. Eric se détacha rapidement, et sauta à l’avant pour prendre le pou de Lucie. Il était extrêmement faible, et en connaissance de cause, il préféra mentir à sa petite amie. Il sortit de la voiture difficilement, quelque peu engourdit par ce choc. Stéphanie était sous état de choc, ces vacances seraient les pires qu’elle aurait passés. Le jeune homme composa le numéro des pompiers Suisse, et se lança dans une longue tirade. Affolé, les pompiers essayèrent de le calmer à l’autre bout du fil, et un quart d’heure plus tard une ambulance arrivait. Par chance, il n’y avait qu’une ou deux voitures bloquées par l’accident, et ces gens s’étaient empressés de leur venir en aide. Tous les secouristes s’occupèrent des jeunes gens, en particulier de Lucie. Son pou frôlait l’arrêt cardiaque. Quant à Gabriel, il lui avait fallut quelques minutes pour se réveiller, mais son cas s’était aggravé à la vue du corps de sa meilleure amie. A côté de l’ambulance, le couple s’étreignait, espérant trouver un peu de réconfort, et se rendre compte que cela n’était qu’un mauvais… ce n’était pas le cas.
    « Comment va-t-elle ! Dîtes moi qu’elle va s’en sortir ! Elle n’a pas le droit de me laisser, pas maintenant ! S’il vous plait, faîtes quelque… »
    Gabriel fut coupé de au beau milieu de sa prière, les portes de l’ambulance se refermant devant lui. Quelques minutes plus tard, une voiture de l’hôpital vint les chercher, les emmenant à celui-ci, pour quelques examens. Gabriel s’était endormit de fatigue, dans la voiture.

    « Mr Sauvain… Mr Sauvain ! Je suis le docteur Locarte. Je viens vous informer d’une chose déli...
    - Lucie s’en est sortie ?! Elle va bien ?! Je peux la…
    Le coupa Gabriel, affolé.
    - Je suis désolé Mr Sauvain, mais votre amie n’a pas tenu le coup. Son cerveau était trop endommagé pour la garder en vie. Je suis désolé, votre ami Eric a prit la décision pour vous. C’était le débranchement des machines ou elle devenait un légume pour le restant de ses jours.
    - Je… Lucie ?
    Murmura t-il dans un souffle raque. »
    Gabriel semblait perdu dans les explications du docteur. Il s’effondra à ses pieds, conscient qu’il n’aurait plus jamais sa meilleure amie à ses côtés. C’est à cet instant qu’un sentiment de culpabilité naquit en lui. Il se haïssait, il se détestait de l’avoir forcée à l’accompagner en montagne. Elle préférait rester au bord de la piscine, mais il la charriait tout le temps.
    Depuis cet accident, Gabriel s’est rapproché de ses 3 amis, ses piliers. Toujours là pour lui, ils ne le laissent jamais prendre le volant seul, de peur qu’il tente le pire. Ils étaient tellement proches de Lucie, elle était un peu comme sa deuxième sœur. Il n’a jamais réussit à en faire son deuil, mais la vie veut qu’il cache cette peine immense, qu’il se forge un caractère et une carapace invincible…


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Gabriel Sauvain
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Gabriel Sauvain


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MessageSujet: Re: Gabriel Sauvain * MARSHMALLOW FUSO   Gabriel Sauvain * MARSHMALLOW FUSO Icon_minitimeMer 26 Déc - 19:08

    RELATIONS

    Valerie Sauvain [Emmy Rossum] Deuxième Année - Gabriel est le grand-frère de Valerie, et comme tous les grands frères, il a la fâcheuse habitude de la protéger un peu trop souvent. Qu'il s'agisse des remarques que peuvent lui faire des professeurs, des filles qui se montrent désagréables avec elle, ou encore des prétendants amoureux trop 'louches' aux yeux de Gabriel, comme il l'affirme lui-même, il sera toujours là pour remettre de l'ordre et défendre sa petite soeur qu'il adore plus que tout. Il regrette qu'elle ne soit pas dans le même groupe que lui, puisqu'ainsi, il n'a pas toujours un oeil sur elle, mais pour Valerie, au contraire, c'est une vraie chance qu'il ne soit pas à veiller sur sa vie vingt quatre heures sur vingt quatre... Enfin, en dépit de tout ce qu'elle peut dire, et du fait qu'ils râlent souvent l'un après ll'autre, ils s'aiment énormément, et sont heureux de faire partie de cette école tous les deux.

    Ella Devero [Leighton Meester] Première Année - Quelques mois avant d'intégrer l'IUAV, Ella avait croisé la route de Gabriel, un jeune peintre amateur venu de France pour vivre et faire ses études à Venise. Ce fut une agréable surprise qu d'apprendre pour Ella, qu'il fréquentait déjà à cette époque l'école d'architecture et design dans laquelle elle souhaitait entrer. Partageant de nombreux centre d'intérêt, ils se sont vus et revus presque toutes les semaines, à chaque occasion qui se présentait pour tout dire. Les marques d'attention particulières et les signes d'affection que le français offrait à la demoiselle ne la laissait jamais indifférente, mais elle venait de sortir d'une relation amoureuse qui avait eu une fin pénible, et avait du mal à ouvrir son coeur blessé à un autre homme aussi rapidement. Aujourd'hui, ils semblent encore plus proches, et il est évident qu'ils ne sont pas qu'amis. Mais aucun des deux n'ose faire le premier pas... Gabriel est au courant de ce qu'il s'est passé entre Ella et Christophe, ce qui rend sa relation avec l'étudiant tendue.

    Enzo Santiago [Shia LaBeouf] Première Année - Lorsque Gabriel rencontra Enzo pour la première fois et apprit qu'il était un ami très proche de sa soeur, il eut la même réaction de méfiance que d'habitude. Mais à force de discuter avec lui, de le voir souvent jouer le rôle du protecteur avec Valerie, il finit par comprendre qu'il n'était qu'un bon ami, sur qui on pouvait compter lorsqu'on était en difficulté, et en qui on pouvait surtout avoir une totale confiance. Ils sont donc en très bons termes à ce jour.

    Christophe Daniels [Jensen Ackles] Troisième Année - Dès qu'il l'a rencontré pour la première fois, Gabriel est tombé sous le charme d'Ella, et comme il l'apprit bien plus tard, la jeune fille venait tout juste de rompre avec un certain Christophe qui lui avait brisé le coeur. Passant outre l'envie d'aller lui régler son compte, Gabriel s'est contenté de lui adresser la parole qu'une seule fois, mais parvint à être très clair et explicite dans ses propos, lui disant que s'il osait encore s'approcher d'elle, - la mâchoire brisée aurait une très mauvaise influence sur sa réputation de gentil garçon populaire et richissime de l'IUAV. Même si Christophe ne prit pas ces menaces au sérieux, il sembla plus distant d'Ella, et arrêta de lui tourner autour comme il le faisait auparavant.


    AUTRES

    - Arf, Gabriel est un jeune homme très étrange vous savez ! Il a pour habitude de ne jamais baisser les bras et de toujours tenir tête. C’est un garçon coriace, alors ne commencez jamais une phrase avec pour intention de ne point la terminer. Gabriel a un tic (à part se prendre pour un badboy, évidemment…) : il ne sait pas mentir, et sa manie de passer sa main derrière sa nuque le trahie à chaque mensonge ! Et oui, on a tous nos petites faiblesses…
    - Les glaces au chocolat vous connaissez ? Et bien n’en mettez jamais sous le nez de notre petit ange. Un vrai gamin, il se jette sur tout ce qui est froid et au goût de chocolat. Son pêché mignon… Mais vraiment, c’est incroyable comme il n’y résiste jamais !!
    - Ah, et puis il y a Wendy, sa petite chienne teckel, à laquelle il ne résiste pas. Déjà 4 ans qu’ils ne se séparent jamais ! Vous ne le verrez jamais sans elle dans la rue ou à son appart’, malheureusement d’après certains…
    - Gabriel a une peur bleue de… des chevaux. Si, si, je vous jure ! Depuis tout petit il est effrayé par ces grands équidés. Un jour il est monté sur l’un d’eux, contre son gré. Il est tombé, et depuis ce jour il a la phobie des chevaux. Ne vous amusez pas à essayer de faire changer ce vice, il ne les aime pas, et ne les aimera jamais, point.


    Personnalité de l'avatar: Jake Gyllenhal
    Votre surnom: Quinoa
    Comment avez-vous connu le forum: Sur Obsession !
    Commentaires?: Depuis le début des vacances je cherchais désespérément un nouveau RPG au design attrayant et à l’histoire intéressante ; je l’ai enfin trouvé !
    Règlement: Stella


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